Le verbe de la prophétie

« Au-delà de la légende il y a la vérité. La vérité est que les lignées sont perdues aux yeux de ceux qui ne voient pas avec leur âme. »

« Je suis la gardienne de cette prophétie […] maintenant écoutez le verbe de la prophétie de Tenebrae Mater. »

Par-delà la mer des arbres, il existe la mer de sable.
Par-delà la mer de sable, la Mère de notre peuple se meurt.
Dans un sommeil éternel, sa moitié l’a plongée pour la préserver du poison du démon.
Il la dévore. Il la tente. Il la tue.
Le sang et l’amour du fils seront la clef de son salut.
De sa lignée naîtra une fille qui sauvera la mère.
Du sang versé de la fille notre monde sera sauvé.
Que la lignée fût brisée, que le sang fût perdu et notre monde sombrera.

Un peu de rêverie

Ce qui est bien avec le rêve c’est qu’il laisse la place à l’impossible, l’irrealisable, il est toujours imprévisible.

Ce qui est aussi bien avec le rêve c’est qu’il peut devenir un objectif au service d’une vision plus vaste. Sa puissance est capable de changer une vie soit par une formidable impulsion soit par l’abandon de toute chose capable de faire obstacle.

En attendant que vous ou moi réalisions notre rêve propre, découvrez le Tweet de @PrimalMundi : https://twitter.com/PrimalMundi/status/1058358330735976449?s=09

Sabadaï chroniqué par Lee Ham

« Le ton est donné dès les premiers mots. Le monde s’écroule. »
« Un poème sans fin. Horrible. Effrayant. Mais si tentant. Si addictif. Les mots se posent d’abord délicatement. Puis, ils explosent dans un artifice de sens que l’on ne cherche pas à retenir: Curiosité, peur, dégoût, et autres. […] Sabadaï nous aspire dans sa vie qui n’a rien de féérique. […] Lisez-le et vous comprendrez. »

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